Pour les gens dont c'est le métier, un peu certes, absolument pas pour le grand public. Cf le nombre d'article de journaux généralistes.
Faux ! à croire que tu ne fréquentais pas le net il y a une dizaine d'années.
Les tenants du tout gratuit, les afficionados du net débridé
Je ne fais pas partie de ces aficionados
Ceux qui piratent les oeuvres de l'esprit prônent par leurs actes la disparition de filières et de métiers : que fais tu des labels qui ont mis la clé sous la porte ? ce n'était pas des professionnels ? ils méritaient de disparaître car ils prenaient des risques sur des artistes peu connus ? que fais-tu des distributeurs qui bossaient avec ces labels et qui ont aussi disparus ?
Et c'est internet l'unique responsable de ces naufrages ??
De quoi parles-tu ? Tu connais le fonctionnement des sociétés de répartition ? Quel rapport avec les majors ?
Je parle des auteurs qui sont de moins en moins nombreux à être soutenus par les maisons de disques, auquel on ne laisse pas le temps de s'installer dans une carrière. Faire dans les reprises est tellement plus arrangeant .... Mais tu as raison je connais assez mal le monde du disque d'aujourd'hui.
C'est faux, mais c'est un argument effectivement souvent utilisé
C'est vrai mais c'est ce que la mauvaise fois d'une grande majorité de professionnel pousse à nier.
As-tu les chiffres précis de vente de disques et de dvd ? Tu es a la sacem ? Moi j'y suis et je peux te garantir que les chiffres ne sont pas bons du tout.
Je suis à la SACD, la SCAM et l'Adami, et je ne pleure pas sur les chiffres, loin de là !
Mais bon apparemment tu préfères parler de concepts que de faits.
Bien sur puisque nous ne travaillons pas dans la même branche professionnelle. Tu défend une loi inique sans élargir la problématique à autre chose que ton domaine, en l'occurrence les droits Sacem, je m'adapte tant bien que mal que veux tu.
Figure toi que les chiffres du spectacle vivant sont tirés par les très grosses productions, par Dorothée. par exemple. On a la culture pour laquelle on se bat...
Je te parles de compagnies indépendantes, de collectifs d'artistes en l'occurrence.
Ce sont les mêmes qui détiennent des mobiles, portables, abonnements dans tous les coins qui prétendent ne pas avoir les sous pour acheter un disque.
La réalité est plus simple : le choix, la priorité, se porte sur ce qu'on ne peut PAS pirater. Si l'iphone était piratable dans sa totalité apple aurait disparu de la circulation.
Je peux même te dire que les gens préfère bouffer des patates et s'acheter un écran plat pour le futur mondial de foot. Et alors ? Qu'est ce que ça retire au fait que les produits culturels soient trop cher ? Une place de cinoche à 10 euros tu trouves ça normal toi ?? Non franchement, le problème économique que nous traversons et les naufrages qui s'en suivent ne sont bien évidement pas le fait des pirates. Elle a beau dos la piraterie tiens...